Petits Poèmes Buccoliques d'un Groupe de Poètes Anonymes

O BELLE INCONNUE

O belle inconnue,
Qui me frôle dans la cohue.
Ce petit geste
Fait que mon sexe se dresse.

Un coup d'oeil complice
Emplit de malice,
Et elle me suit
Dans mon paradis des délices.

L'étreinte est furtive et sauvage,
Elle se délecte de moi comme d'un fromage.
Son sexe mouillé
Me fait encore plus bander.

D'un coup de maître
Je la pénètre.
Un va et vient s'instaure,
Je ne donne pas cher de notre sort.

Notre jouissance mutuelle nous étonna,
Et d'un coup, tout s'arrêta.
Tu repartis comme tu étais venue,
O belle inconnue.

ANONYME CONNUE

VENTS

Doux vent qui entre dans la pièce,
Qui remplit tout le monde d'allégresse.
Douce odeur qui se répand,
Qui rend les gens si contents.

Oh toi subtile flatulance
Toi qui est dénuée d'élégance,
Comment ne peut on pas t'aimer ?
Moi qui ne fais que te vénérer.

ANONYME CONNUE

OUPLA

Quand je vis son sexe dressé,
Je ne pu m'empêcher
De l'avaler tout entier,
D'une seule bouchée.

Il fut tant surpris
De me voir si enhardie
Que soudainement il jouit,
De me voir si ravie.

ANONYME CONNUE

JOLIE FLEUR

En arrivant chez lui
Il me pris la main
Et m'emmena sur son lit
Qu'il avait depuis gamin

Tendrement, sur la bouche,
Il déposa un baiser.
Tous deux allongés sur sa couche
Nous étions prêts à nous aimer.

Ses baisers si doux se déplacèrent,
Sur mes seins ils arrivèrent.
De douces sensations me traversèrent
Alala quelle première !

Sa langue parcourut mon ventre,
Puis pénétra mon antre.
Le plaisir m'envahit
Et je sus que j'avais jouis

Oh que c'était bon
De le sentir en mon con
Faisait des va et vient
Qui me donnaient beaucoup de bien.

Il me pris les mains
Et en entoura son engin.
Avec précaution je le caressais,
Rapidement je le sentis se dresser.

Il me m'allongea sur le dos,
Avec sa bite de taureau
Me pénétra tout de go.
Tout en m'embrassant

Il commença un va et vient des plus plaisant
Mais l'acte fût tellement bon
Qu'il éjacula dans mon con.
Ah! que pour une première fois c'était bon.

ANONYME CONNUE

LE CLUB

Quand je mis les pieds dans ce club,
Je ne pu m'empêcher de remarquer ta teub.
Tout était noir dans cette grande salle,
Où le son faisait vibrer mon trou d'balle.

Je fus excitée en voyant ton bout rose,
Au garde à vous sur mon ti chose.
Doucement, ton gland me pénétra,
Et le va-et-vient s'intensifia.

L'acte fut tellement fort,
Que de jouir, me fit hurler comme un porc.
Et je sentis l'éjaculation,
Me remplir le con

Après cela, je me sentais en joie
Et, en savourant, je me rhabilla.
Au vestiaire je pris mon manteau,
Et repris la route vers d'autres discos.

ANONYME CONNUE

LES FOURRES

Soudain sortie des fourrés
Je te pris pour t'honorer.
Subjuguée par ma verge levée
Ton sexe se retrouva tout innondé.

Oh! Mais quel gros kiki!
Me dis tu toute éblouie.
Je te mis mon engin dans le vagin
Et sur ton corps, courraient mes mains

Enfin, tu pris ton pied
Et tu jouis comme jamais.
En toi je me finis
Et nos chemins se séparèrent ici.

ANONYME CONNUE